Le coaching : un chemin pavé de bonnes intentions !

Pour le premier billet de Blanche Conseil et Développement, j’ai choisi de partager avec vous ce qui se cache derrière ce mot « valise » de coaching, la façon dont travaillent en « duo » un client et son coach. J’espère que cela permettra à ceux qui n’en ont pas fait l’expérience de mieux comprendre la dynamique du travail en coaching.
Au XIXe siècle, un coach c’était une voiture à cheval, avec des amortisseurs pour voyager confortablement. L’important dans le coaching, c’est donc le voyage, le cheminement.
Si voyager seul est une possibilité, vous irez plus loin à deux, en particulier en étant accompagné par une personne formée à poser les bonnes questions, dans le bon tempo.
La route du coaching est jalonnée de petites questions ouvertes qui permettent de déceler des contradictions, de prendre conscience de pensées inavouées, de facultés oubliées, d’autres possibles abandonnés. Ces questions permettent de (re)trouver les bonnes raisons qui font que vous faîtes comme vous faîtes. En jargon de coach, on les désigne par cette expression : ce sont des « intentions positives » (pour vous).
Voyager avec un ami n’est pas non plus interdit ! Mais la sagesse populaire nous rappelle que l’enfer est pavé de bonnes intentions : imaginez l’enfer d’être accompagné par un ami qui vous dirait « il n’y a qu’à… », « moi, à ta place, je ne verrais pas de problème », « et pourquoi tu ne fais pas… », « il suffirait simplement que tu… » !
Un coach a appris à prendre la juste distance pour vous accompagner, car les meilleures solutions à vos problèmes ce seront vos réponses aux questions de votre coach.
Nous avons retranscrit sur l’image illustrant ce billet quelques unes de ces questions qui vous permettront d’être attentif aux bonnes intentions qui pavent votre chemin de progrès !
Jean GALAND est président fondateur de
et coach professionnel.